Tudigo croît et contribue à la création d’une économie durable, en permettant à des entreprises non cotées en Bourse de lever des fonds, et donc se financer via notre plateforme.
Celles-ci sont à impact positif, mais aussi à fort potentiel de rendement pour tout investisseur potentiel.
Les projets présentés sur notre plateforme sont sélectionnés après de nombreuses étapes de sélections : analyses financières, extra-financières…
Il n’en reste pas moins que tout investissement, par définition, comporte des risques.
C’est pourquoi nous souhaitons vous avertir sur les risques associés à l’investissement dans le non coté.
Investir dans des entreprises non cotées via une plateforme de financement participatif peut apporter différents avantages : potentiel de rendement élevé, réduction d’impôts…
En revanche, ce type d’investissement présente aussi un risque important de perte partielle ou totale du capital investi. Votre investissement n’est pas couvert par les systèmes de garantie des dépôts établis conformément à la directive 2014/49/UE du Parlement européen, ni par les systèmes d’indemnisation des investisseurs établis conformément à la directive 97/9/CE du Parlement européen et du Conseil.
Chaque société financée présente des risques relatifs à son marché, son business modèle et sa gestion. Nous vous conseillons donc toujours de consulter l’analyse, présente sur la page associée à chaque projet.
La Fiche d’Informations Clés sur l’Investissement (FICI), également présente sur la page associée à chaque projet, vous permet de mieux appréhender les risques opérationnels pouvant entraîner la perte partielle ou totale du capital investi.
Enfin, en non coté, le retour sur investissement n’est pas garanti. Par ailleurs, ce n’est pas un produit d’épargne.
C’est pourquoi il est communément recommandé de ne pas investir plus de 5 % de votre patrimoine net dans des projets de financement participatif.
Investir en actions dans des sociétés non cotées présente, comme énoncé précédemment, un risque de perte partielle ou totale du capital investi.
Ce type d’investissement présente aussi un risque d’illiquidité. Cela se traduit par la difficulté ou l’impossibilité de vendre ou se faire rembourser les actions au moment où vous le souhaitez.
N’investissez donc pas l’argent dont vous pourriez avoir besoin à court terme, et prenez le temps d’analyser toutes les informations à votre disposition avant de vous lancer.
La valorisation des entreprises est basée sur des modèles prédictifs, ce qui signifie que le multiple de valorisation escompté est directement impacté par les performances de l’entreprise. Par ailleurs, les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Investir en obligations, et notamment dans des sociétés non cotées, présente aussi des risques. Plus le taux est élevé, plus le risque de perte en capital ou d’impayé des intérêts est important.
L’investissement en obligations présente aussi un risque de retard de paiement. C’est le cas si l’entreprise ayant eu recours à un emprunt obligataire n’est pas en mesure de satisfaire les créanciers au moment de l’échéance.
Ce retard peut être traité directement entre les parties concernées, ou avec l’aide d’une partenaire extérieur. L’objectif étant de satisfaire toutes les parties.
Si la société ayant recours à l’emprunt obligataire se retrouve en difficulté avant ou au moment de l’échéance, certains créanciers comme les banques ou les fournisseurs seront remboursés de manière prioritaire.
En conséquence, les investisseurs Tudigo peuvent faire face à une incapacité de remboursement des obligations de la part de l’entreprise ayant eu recours à l’emprunt obligataire. Dans ce cas de figure, une assemblée générale réunissant l’ensemble des obligataires ayant investi dans cette entreprise sera formée. L’objectif étant de décider collectivement de la conduite à tenir pour retrouver votre solde.
Cette procédure peut être à l’amiable ou en justice, et peut permettre de recouvrir partiellement ou intégralement le montant investi. Il existe aussi un risque que cette procédure n’aboutisse pas. Le cas échéant, l’investisseur est confronté à une perte du capital investi, mais aussi à des frais de procédure.
Comme mentionné ci-dessus, la liquidité de ces obligations dépend de leur modalité de remboursement ainsi que du versement des intérêts.
Ces dernières peuvent, selon modalités, être remboursées à l’avance par la société ayant eu recours à l’emprunt obligataire. Le cas échéant, les intérêts sur la période restante ne seront pas dus.