En apparence niche, le crowdfunding est un secteur très vaste. Il comporte de nombreux acteurs et mécanismes.
Certains vont prendre part à du crowdfunding dans le but de réaliser un don pur et dur, d'autres vont le faire dans le cadre d'un investissement dans une société à haut potentiel de rendement.
Chez Tudigo, par exemple, on vous permet d'investir en non coté, dans des startups en phase de croissance et de développement. On parle de Venture Capital et de Private Equity. On parle alors de "crowdequity".
Vous profitez de potentiels de rendement élevés (proportionnellement au risque), de projets solides, et d'un cadre juridique entourant votre investissement, comme le ferait un fonds d'investissement au final.
Le crowdfunding, c'est quoi ?
Crowdfunding, c’est un bel anglicisme : crowd pour “foule”, et funding pour “financement”. Donc, littéralement, financement par la foule.
L’idée est simple : de nombreux particuliers investissent en direct dans un projet de leur choix.
1000 €, 2000 €… Des petits investissements qui, mis bout à bout, amènent à un financement important pour l’entreprise.
Cette solution permet à des entreprises “non cotées en Bourse” de lever des fonds auprès d’investisseurs particuliers.
Pour ça, elles passent par des plateformes d’investissement non coté, comme Tudigo !
Ces dernières, agréées “Prestataires de Services de Financement Participatif” assurent le bon déroulé de la levée de fonds : analyse financière et juridique, accompagnement des investisseurs…
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Les 4 solutions de crowdfunding
Le crowdfunding, c’est une solution de financement assez vaste. Elle se sépare en 4 catégories de financement participatif.
En fonction de l’option employée, le retour sur investissement ne sera pas le même.
Tour d’horizon des différentes solutions de crowdfunding :
- Le don avec contrepartie ;
- Le don sans contrepartie ;
- Le crowdlending (obligations) ;
- Le crowdequity (actions).
Le crowdfunding avec contrepartie
Première option de financement participatif : la contrepartie. Ici, les particuliers versent des fonds à la startup en échange d’une récompense. Le Crowdfunding a été popularisé dans les années 2010 par des plateformes comme Ulule ou KissKissBankBank.
Il peut s’agir d’un service ou d’un produit offert par l’entreprise : goodies, nuitées dans un établissement… Bref, vous voyez le topo.
La plupart du temps, ce système aussi apellé "don contre don" est utilisé par de jeunes pousses qui souhaitent faire financer leur première production. Il agit donc comme une précommande : vous payez d'avance, à un tarif avantageux votre produit, qui vous sera livré une fois tous les fonds réunis et la production lancée.
Le don contre don concerne des entreprises jeunes qui souhaitent tester leur marché ou leur prduit avant de passer à l'échelle.
La contrepartie peut aussi être “symbolique”, sans vraie valeur pécuniaire : une carte postale, un tee-shirt…
Vous l’avez compris, ce type de financement est idéal pour un projet “coup de cœur”, que vous souhaitez voir grandir, accompagner. Le but n’est cependant pas de réaliser un investissement rentable car vous ne posséderez pas in fine de part de l'entreprise.
Le crowdfunding sous forme de don
Le crowdfunding avec contrepartie inclut un certain échange entre le particulier finançant l’entreprise et la société en question.
Pour le crowdfunding sous forme de don, en revanche, ce n’est pas le cas. Le nom est assez explicite : c’est un don. L’objectif quand on finance ce type de projet n’est donc pas de gagner de l’argent.
Le crowdequity : investissement en actions
Quand une entreprise cherche à lever des sommes importantes grâce au financement participatif, les deux solutions énoncées précédemment sont rarement adéquates.
La raison est simple : pour l’investisseur, il n’y a pas de potentiel de rendement. Dans ce cas de figure, on trouve une autre forme de crowdfunding : le crowdequity.
Pour faire simple, le crowdequity, c’est quand une entreprise non cotée en Bourse lève des fonds en actions auprès de particuliers.
En tant normal, pour investir en actions dans une entreprise, elle doit être cotée en Bourse. De cette façon, ses titres de capital sont échangeables sur les marchés boursiers.
Problème : Pour les start-ups et PME prometteuses, à fort potentiel de rendement, c'est rarement le cas. En tant qu’investisseur lambda, il devient très compliqué d’investir au capital de ce type de société.
Enfin, ça, c’était le cas avant. Aujourd’hui, via des plateformes d'investissement non coté l’entreprise peut ouvrir son capital à tout investisseur particulier.
Chez Tudigo, par exemple, on vous propose d’investir en actions non cotées dans de nombreuses entreprises à haut potentiel de rendement. Le ticket d’entrée est de 1 000 €.
Vous devenez alors actionnaire de l’entreprise.
Celle-ci est valorisée au moment de la levée de fonds, ce qui détermine le prix de l’action. Des années, plus tard, lors de la revente des titres (exit), si la valorisation de l’entreprise a augmenté, alors le prix de vos actions aussi : vous générez une plus-value !
Bon à savoir :
Investir en actions non cotées, c’est profiter d’un potentiel de rendement élevé ainsi que d’avantages fiscaux. En contrepartie, l’investisseur fait face à un risque de perte partielle ou totale du capital investi ainsi que d'illiquidité.
Le crowdlending: investissement sous forme de prêt
Dernière option pour investir via du crowdfunding : le crowdlending.
Le concept de base est similaire au crowdequity : une entreprise non cotée en Bourse a besoin de lever une somme importante.
Si elle ne désire pas diluer son capital, en réalisant une levée de fonds en actions, elle peut opter pour du crowdlending.
L’investisseur prête de l’argent à l’entreprise. Qui dit prêt dit intérêt. La société ayant réalisé la levée de fonds verse donc régulièrement les intérêts selon un taux défini au préalable.
Le capital initial investi est ensuite remboursé à échéance. On parle alors d’un investissement en obligations.
En tant qu’investisseur, cette méthode vous permet de profiter de taux d’intérêt importants. Si le potentiel de rendement est moins élevé que pour du crowdequity, le risque de perte, lui, est plus modéré (il existe toujours !).
Chez Tudigo, on vous propose d’investir dans de nombreux projets en crowdlending, mais aussi en crowdequity.
Retrouvez toute une sélection de projets à haut potentiel de rendement, mais aussi à impact (social, environnemental…).
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Le fonctionnement d’une plateforme de crowdfunding
Ça, c’était pour le tour d'horizon des différentes solutions de financement participatif. Maintenant, comment fait-on pour réaliser du crowdfunding ?
Eh bien, très logiquement : on passe par une plateforme de crowdfunding. En fonction de la thèse, on parle aussi d'investissement non coté.
Une plateforme d'investissement non coté, comme l’est Tudigo, est une solution d’investissement en ligne. Elle permet aux entrepreneurs de collecter des fonds auprès d’un grand nombre d’investisseurs particuliers.
C’est l’intermédiaire entre l’entreprise et l’investisseur. Elle est agréée "Prestataire de Service de Financement Participatif" (PSFP) par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF).
Le fonctionnement varie en fonction de la plateforme et du type de financement (don, actions, obligations…).
On retrouve toute une ribambelle : certaines spécialisées dans le don contre don, certaines dans le don sans contrepartie, d’autres dans l’immobilier…
Chez Tudigo, on vous propose d’investir en actions et en obligations dans de nombreux projets.
Avant d’être présentés sur la plateforme, les projets sont passés par des analyses financières et juridiques. L’objectif étant de vous proposer d’investir dans des projets fiables.
Attention : ces analyses n’excluent pas le risque de perte si l’entreprise prend l’eau !
Mais on va encore plus loin, et réalisons aussi une analyse extra-financière du projet. L’idée est simple : déterminer l’impact de l’entreprise. Celui-ci peut-être social, environnemental, économique…
Tout est expliqué en détail sur la page dédiée à l’analyse des projets.
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Venture Capital ou Private Equity ?
Quand on commence à se pencher plus en détail sur le crowdfunding, et donc sur l’investissement non coté, on retrouve toute une ribambelle de termes : Private Equity, Capital Investissement, Venture Capital…
Mais que signifient-ils tous ?
Le Venture Capital
Le venture capital (capital-risque en français) est une forme d'investissement destinée aux startups et jeunes entreprises innovantes, à fort potentiel de croissance.
Les fonds de venture capital investissent dans des entreprises à un stade précoce de leur développement, souvent avant qu'elles ne génèrent des bénéfices significatifs. Les investisseurs en venture capital prennent des risques élevés en espérant des rendements substantiels si l'entreprise réussit.
Les caractéristiques du Venture Capital :
- Cible : Startups et jeunes entreprises innovantes avec un potentiel de croissance rapide.
- Montant des Investissements : Variable, souvent moins élevé que dans le private equity, mais avec des cycles d'investissement successifs (séries A, B, C, etc.).
- Horizon Temporel : Souvent plus court que le private equity, entre 3 à 7 ans. Cette durée plus courte est due aux nombreux tours de financement successifs.
- Implication : Soutien stratégique et opérationnel, mentorat et aide à la mise en réseau, souvent moins intrusif que dans le private equity.
Le Private Equity
Le private equity (capital-investissement en français) est une forme d'investissement dans des entreprises privées non cotées en bourse. Les fonds de private equity collectent des capitaux auprès d'investisseurs institutionnels ou fortunés et les utilisent pour acheter des parts significatives dans des entreprises établies.
Ces investissements sont généralement de grande envergure et visent à restructurer, développer ou améliorer la rentabilité de l'entreprise. L'objectif principal est de réaliser des profits importants lors de la vente de l'entreprise ou de son introduction en bourse (IPO).
Les caractéristiques du Private Equity :
- Cible : Entreprises matures et établies avec un potentiel d'amélioration ou de croissance.
- Montant des Investissements : Souvent très élevé, avec des transactions de plusieurs millions voire milliards d'euros.
- Horizon Temporel : Généralement à long terme, souvent entre 5 à 10 ans.
- Implication : Participation active dans la gestion de l'entreprise, souvent avec des sièges au conseil d'administration.
On récapitule : les différences entre Venture Capital et Private Equity
Bon, vous l’avez compris, il est crucial de faire la part entre Private Equity (PE) et Venture Capital (VC).
Récapitulatif des principales différences :
- Phase de développement : en Private Equity, l’entreprise est déjà bien ancrée sur le marché, avec un produit en place, une base de consommateurs… En Venture Capital, l’entreprise est très jeune, et propose souvent un produit innovant, disruptif.
- Potentiel de rendement : Pour une entreprise en Private Equity, le rendement potentiel est modéré, car la valorisation de l’entreprise est déjà assez importante. À l’inverse, en Venture Capital le potentiel de rendement est souvent élevé, car la valorisation de base est relativement faible.
- Risque : En Private Equity, le risque de perte, bien que toujours présent, est considéré comme moins élevé qu’en Venture Capital, qui lui présente un risque de perte très important. Le risque est tout simplement proportionnel au potentiel de rendement.
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Le crowdfunding immobilier
Maintenant, parlons crowdfunding immobilier !
Le fonctionnement est simple : un promoteur a besoin de fonds pour financer un projet.
Construire une résidence, rénover un bâtiment pour en faire un espace de coworking… Vous voyez le topo.
En plus des solutions de financement traditionnelles, il décide de faire du crowdfunding immobilier.
Vous et de nombreux autres investisseurs peuvent alors financer le projet en direct. C’est une bonne solution pour investir dans l’immobilier, mais sans pour autant souscrire à un crédit.
Ce type de financement participatif peut se faire en obligations. Vous prêtez de l’argent au promoteur, et êtes remboursés avec intérêts à échéances définies.
Il est aussi possible de réaliser du crowdfunding immobilier en actions ! Le cas échéant, vous devenez “copropriétaire”.
Ici, le projet est de rénover ou de construire un bien, puis de le revendre. En cas de plus-value, vous récupérez une somme proportionnelle à votre investissement initial.
Psst : Chez Tudigo, on vous propose différents projets de crowdfunding immobilier en obligations, mais aussi en actions ! Venez tous les découvrir.
Crowdfunding : avantages et inconvénients
Si le financement participatif peut être très avantageux pour le portefeuille d’un investisseur, il y a aussi quelques inconvénients à prendre en compte. On fait le point sur tout ça :
Les avantages du crowdfunding
Accessibilité : Le premier avantage notable du crowdfunding (sous toutes ses formes), c’est qu’il est accessible ! Les plateformes de financement participatif vous permettent un accès intuitif aux projets et vulgarisent des sujets parfois complexes. Dès 1 000 €, vous pouvez investir dans des projets autrefois réservés aux plus fortunés.
Diversification du portefeuille : La diversification, quand on investit, c’est la clé ! Et justement, avec le crowdfunding, vous pouvez investir des sommes modestes dans une multitude de projets. Le tout en choisissant en direct les entreprises dans lesquelles vous souhaitez placer votre argent.
Potentiel de rendement élevé : On l’a vu quand on a abordé le Private Equity et le Venture Capital : le crowdfunding présente un potentiel de rendement élevé. C’est notamment dû à la valorisation de l’entreprise, qui est moins importante quand l’entreprise est en phase de création ou de développement.
Avantages fiscaux : Le financement participatif, et principalement le crowdequity, peut vous donner accès à des avantages fiscaux (réduction d’IR, report d’imposition…).
Parmi les dispositifs, on retrouve :
- Le PEA / PEA-PME
- L’IR-PME
- Le JEI / JEIR
- Le 150-0 b ter
Les risques et inconvénients du crowdfunding
Risque de perte du capital investi : Le crowdequity et le crowdlending présentent tous deux des potentiels de rendement élevés. En revanche, il y a aussi un risque important de perte partielle ou totale du capital investi.
Manque de liquidité : Quand on investit en actions non cotées via du crowdfunding, il y a un risque important d’illiquidité. C’est pourquoi, quand on se lance dans ce type de placement, il faut être prêt à immobiliser son capital pour une durée minimum de 5 ans.
Manque de transparence et d’information : Les entreprises cotées en Bourse sont soumises régulièrement à des obligations de transmettre différents documents et informations financières. En revanche, ce n’est pas le cas des entreprises non cotées. Un manque de transparence et d’information peut résulter en un mauvais jugement de l’investissement.
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Donner du sens à son investissement grâce au crowdfunding
Un dernier point qu’il est important de noter avec le crowdfunding, c’est que c’est une solution d’investissement en direct.
En bref, vous investissez directement dans un projet, qui lève des fonds pour une raison bien spécifique. Si la rentabilité financière reste la priorité, il y a aussi toute une notion de rentabilité extra-financière.
Une medtech, une entreprise innovante, une société développant un produit générant un impact environnemental positif… Bref, vous voyez l’idée.
Le bonus : ce sont souvent des entreprises locales, ou du moins à l’échelle nationale. C’est quand même plus sympa que de financer un pipeline à l’autre bout du monde.
Pour résumer en une phrase, le crowdfunding, c’est un moyen d’investir dans l’économie réelle.
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Les questions les plus posées au sujet du crowdfunding
Pour investir dans une startup en tant que particulier, il faut passer par une plateforme d'investissement en non coté, comme Tudigo.
Au moment où l'entreprise lève des fonds sur la plateforme, et ouvre donc son capital, vous pouvez investir et profiter d’un potentiel de rendement élevé (en échange de risques, eux aussi, élevés).
Les 4 formes de crowdfunding sont :
- Le don sans contrepartie
- Le don avec contrepartie (ou don contre don)
- Le prêt (investissement en obligations)
- La souscription de titres (investissement en actions)
Si les deux premiers servent principalement à soutenir un projet “coup de cœur”, les obligations et actions permettent à l’investisseur un potentiel de rendement important, en échange d’un risque de perte.
En tant qu’investisseur, quand vous choisissez une plateforme d'investissement, plusieurs éléments sont à considérer :
- Les frais d’investissement
- La qualité des projets proposés
- Les potentiels de rendement associés à chaque projet
- Le ticket d’entrée pour investir
- L’accompagnement avant, pendant et après l’investissement
En actions, l'investisseur achète des parts d’une entreprise non cotée levant des fonds. Ce type d’investissement est souvent à long terme (plus de 5 ans), avec un potentiel de rendement élevé.
Les obligations non cotées, c’est une forme de financement ou l’investisseur prête de l’argent à une entreprise non cotée, qui lui sera remboursé avec intérêts. C’est souvent un investissement à court/moyen terme (1 à 3 ans), avec un rendement annoncé (taux d’intérêt définis au préalable).
Finançant la plupart du temps des entreprises en phase de développement ou de croissance, l'investissement en non coté permet un potentiel de rendement élevé.
En contrepartie, le risque de perte partielle ou totale du capital investi est également plus élevé.
En fonction du support d’investissement (actions, obligations…), il y a aussi un risque d’illiquidité. C'est-à-dire qu’il n’est pas possible de retirer les fonds investis rapidement en cas de besoin.
Les projets présentés sur Tudigo sont tous passés par un processus de sélection méticuleux. Deux analyses sont prises en compte :
L’analyse financière : Historique des bilans comptables, le business plan de l’entreprise, la structure de l'actionnariat actuel, les transactions comparables, pour valoriser au plus juste la société. Tout le détail est indiqué dans la note d'investissement de chaque projet.
L'analyse extra-financière : Chez Tudigo, on vous propose des projets prometteurs, mais aussi à impact (durable, sociable…).Cette analyse nous permet d'identifier et de classer les projets selon trois typologies :
- Développement durable, pour les entreprise dont l’activité directe a un impact positif sur la planète
- Responsable, pour les entreprise qui intègrent des enjeux environnementaux et sociaux dans leurs pratiques
- Engagée pour les entreprises qui prennent des engagements sérieux pour entamer leur transition vers des pratiques responsables
Le tout se passe en 4 étapes :
- Un audit de l’entreprise, ou l’ensemble des éléments cités précédemment sont analysés, afin d’évaluer la pérennité de l’entreprise et son engagement RSE
- Une présentation du projet devant un comité, composé des fondateurs de Tudigo ainsi que de différents responsables
- Une analyse plus poussée, ou les analystes financiers et juristes étudient en profondeur la situation de l’entreprise
- La décision finale, et la présentation du projet sur la page des opportunités. Tout le processus de sélection est alors détaillé dans la note d’investissement.
En 2023, la durée moyenne d’une levée de fonds sur Tudigo était de 48 jours.
Ceci reste une moyenne, une levée de fonds peut très bien durer moins d’un mois, à partir du moment où elle atteint le montant plafond.
Une plateforme d'investissement non coté met en relation des porteurs de projets avec des personnes désirant investir leur argent dans l'économie réelle. Il s'agit de startups non cotées en Bourse, d'entreprises à impact… On parle de Venture Capital pour les entreprises en phase de croissance, et de Private Equity pour celles en phase de développement.