Comment calculer son retour sur investissement (ROI)

Le retour sur investissement (ROI), c’est quoi ?

Le retour sur investissement (c’est long, donc on dit aussi ROI, pour Return on Investment en anglais), c’est un indicateur financier, qui vous permet d’évaluer l’efficacité d’un placement financier. L’idée est simple : j’ai investi X, combien est-ce que ça m’a rapporté ? Quel est mon retour sur investissement ?

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Si on peut le calculer après avoir réalisé un investissement, on peut aussi l’estimer avant même d’investir ! Pour ça, le calcul va dépendre de votre type d’investissement : obligations, actions, fonds, livret d’épargne… Je vous explique.

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La formule de calcul du ROI

Vous êtes probablement là pour ça, alors rentrons dans le cœur du sujet : comment calculer son ROI ? Pour ça, vous pouvez retenir une formule très simple :

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(valeur finale de l’investissement - coût initial de l’investissement) / coût initial de l’investissement x 100

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Grâce à ça, vous avez le pourcentage de gain ou de perte engendré par votre investissement ! Un exemple plus concret : j’ai investi 5 000 € dans différents actifs. Après 5 ans, j’ai récupéré 6 500 €. Pour calculer mon ROI, je fais :

(6 500 - 5 000) / 5 000 x 100 = 30 -> J’ai donc un retour sur investissement de 30 %

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Maintenant, essayons avec une perte ! Imaginons que j’ai investi 5 000 €, et ne récupère que 4 000 € après 5 ans.

(4 000 - 5000) / 5000 x 100 = -20 -> J’ai donc un retour sur investissement de -20 %

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Cette formule est cruciale à connaître et à appliquer quand on commence à investir : elle permet de garder un œil sur l'évolution de ses actifs, ce qui a fonctionné, ce qui a moins bien marché…

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Estimer son retour sur investissement : les obligations

Ce type de créance est représentatif d'une dette. Qui l'eut cru ? Pour faire simple, c'est comme un prêt bancaire, sauf que le créancier, c'est vous ! Obligations obligent, l'entreprise vous verse des intérêts, et rembourse le capital initial à échéance définie.

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Les obligations, ce n’est pas si compliqué : vous pouvez même estimer le rendement avant d'investir. Avec Tudigo, par exemple, tout est défini à l'avance. Pratique, n'est-ce pas ?

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Les intérêts sont payés à échéances fixes et calculées selon un taux d'intérêt défini. Le capital, lui, est remboursé tous les ans d'un montant identique. Conclusion, les intérêts diminuent tous les ans proportionnellement au capital.

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Exception cependant : les obligations "in fine". Ici, la totalité du capital est remboursée à la dernière échéance. Imaginons que vous investissez 2 000 € dans une obligation, avec un rendement annuel 11 % sur 24 mois, et un remboursement in fine pour maximiser les intérêts. Chaque année, vous récupérez 11 % de 2 000 en intérêts, soit 220 €.

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Une fois l’obligation arrivée à son terme, et le remboursement total effectué, vous vous retrouvez avec 2 440 €. Bon, là, j’ai pris des chiffres ronds, donc c’est facile, mais mieux vaut s’armer d’une calculatrice pour ce genre d’estimation !

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Bon à savoir : si un investissement en obligations peut paraître plus sécurisé qu’un investissement en actions, il y a tout de même des risques ! L’entreprise peut très bien faire faillite, et ne pas être en mesure de vous rembourser par exemple.

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Estimer son retour sur investissement : les actions

Ce que je vous ai donné juste avant, c’est la formule basique, classique, qui vous permet de calculer ce que vous avez gagné ou perdu après coup. L’idéal pour tout investisseur, c’est d’estimer son retour sur investissement, et donc le rendement. Et c’est là que ça se complique. Enfin pas tant que ça, vous allez voir.

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On attaque avec les investissements en actions. Pour estimer votre retour sur investissement, vous devez prendre en compte deux facteurs : les dividendes et la plus-value de cession.

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Les dividendes

Quand vous investissez en actions, vous détenez une fraction du capital. Ces dividendes peuvent vous ouvrir un droit sur les bénéfices de la société. Tout le détail est mis noir sur blanc dans un pacte d'actionnaires.

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Attention ! Toutes les entreprises ne proposent pas la distribution de dividendes. Je vous rassure, investir dans une PME ne distribuant pas de dividendes, c'est loin d'être du bénévolat. Vous pouvez récupérer une plus-value lors de la cession des titres.

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La plus-value de cession

L’intérêt d'acheter des actions, c'est de les revendre ! Donc logiquement, si l'action lors de la revente vaut plus chère que lors de son achat, vous dégagez une plus-value.

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Le conseil de Tudigo ? Investissez dans une PME française, et attendez jusqu'au 31 décembre de la 5ème au minimum avant la revente des titres ! Vous pouvez ainsi être éligible à une réduction d'impôt ! Plutôt pratique, pas vrai ? En plus, vous êtes en mesure d’investir dans un projet à impact tout en soutenant l'économie locale !

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Revenons à nos moutons : mesurer la rentabilité. Le calcul est assez simple :

(valeur des titres à la revente) - (investissement initial).

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Vous aimez vous creuser la tête ? Vous pouvez optimiser cette formule en ajoutant le bénéfice sur les dividendes (le cas échéant) et les aides fiscales.

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Tudigo - Plateforme d’investissement en non coté

Tudigo, c’est une plateforme d’investissement spécialisée dans le non coté. En bref, on vous permet d’investir en obligations ou en actions dans des entreprises non cotées en Bourse.

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Vous pouvez investir dans de nombreux secteurs : de l’immobilier, de la fintech, de la medtech… À chaque fois, le rendement cible (pour les actions) ou le taux d’intérêt (pour les obligations) sont indiqués. Pratique pour avoir une première estimation du ROI avant de vous lancer.

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Le bonus : On vous permet d’investir dans des projets prometteurs, mais aussi à impact positif ! De quoi faire d’une pierre deux coups.

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Bien entendu, les potentiels de rendement annoncés ne sont que des estimations, et sont basés sur la valorisation de l'entreprise (pour les actions). Il ne sont en aucun cas des garantis. Gardez bien en tête qu'investir, c’est prendre un risque, surtout en non coté !

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